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Neant
30 juillet 2009

Le train...

    Le train s'arrêta de lui même, masse lumineuse dans ce tunnel, catacombe moderne pour gens insouciant.
La guerre était enfin arrivé à nos portes, il faudrait bientôt prendre les armes, fuir ou mourir. En tout cas toutes ces personnes qui gisaient par terre n'iraient nul part. La lumière s'éteignit. Quelques minutes d'oppression avant que mes yeux s'habituent à l'obscurité.
La poussière gêne la respiration, mais j'ai vécu pire.
Voila, je commence à apercevoir les formes qui se trouvent autour de moi. De quel coté peut bien se trouver la station la plus proche ?
Au hasard je prend la direction du train.
Parfois un bruit sourd, et tout autour de moi tremble. La guerre devait être gagné d'avance,mais c'est plutôt elle qui en à pris.
Je m'arrête, écoutant et évitant les éboulis venu du plafond.
Ma marche continu, encore combien de temps, ma montre ne marche même plus. En fais tout ce qui est électronique sur moi ne marche plus.
Est ce moi ou ai je bien entendu des bruits de pas bizarre derrière moi ? L'obscurité sans doute. Mais il vaut mieux être prévenant. Ha un bout de tuyaux solide pour frapper toutes choses qui roderaient par ici.
Quelques minutes plus tard les bruits se rapprochent, mais adverses se rapprochent. Ils seront bientôt à porté de tire, enfin plutôt moi.
Une crevasse dans le mur, idéale pour une embuscade. Je mis cache et attend. Je les attend approcher... encore... ils sont au moins trois... le premier passe devant moi, suivi du second et j'abats le tuyaux sur le troisième. N'hésitant pas je me jette sur lui, et empoigne ce qui ressemble à une arme à feux. J'ai très peu de chance, ils sont surement équipés de vision nocturne... mais, au bout du tunnel une lueur, qu'est ce ? Un vent chaud souffle sur mon visage. Non ! Je me jette dans la crevasse au moment ou des tires atteignent le mur qui était derrière moi il y a quelques secondes encore. Et me couvre de mon manteau en cuir. Un grondement, suivi d'une chaleur étouffante... et les crissements de mes adversaires. La température redescend en quelques secondes, mes sourcilles on disparus. Mais enfin la lumière du feu un peu partout. Mes yeux on du mal à s'habituer à tout cette étalage de flamboiement. Mais enfin je peux les rouvrirent sans trop de peine.
Je reprend ma marche. Mes poumons en on pris un coup, je m'essouffle sans effort. Soudain une lumière plus vive que le feu, le tunnel est exposé au ciel, un cratère le remplaçant à cette endroit.
Je grimpe non sans difficulté jusqu'à l'air libre. Et là, des corps carbonisés, au loin des coup de feux, suivi d'explosions.
Je me prépare, il vas falloir combattre. J'avance donc entre les immeubles en ruines à la recherche d'éventuels adversaires. Mais tout semble mort ici.
Et enfin je les aperçois, ombre mouvante contre le ciel bleu. Cette fois si ils non pas lésinaient sur la taille. Et alors que je m'avance à couvert, un sifflement. et une explosion. la moitié des adversaires sont pulvérisés. Des soldats arrive par les rues perpendiculaires. Et l'un d'eux me dit de me cacher, je lui demande plutôt une arme efficace et lui demande de couvrir mon flan, en lui expliquant brièvement que je suis capitaine.
Ne se faisant pas prié, il me suit et nous nous lançons à l'attaque avec les autres soldat.
Beaucoup tombent avant d'avoir pu toucher un seul adversaire. Des bleues formés à la vas vite. J'en profite que nous nous mettions à couvert pour éviter un feux nourri pour demander un seringue de renforcement au soldat qui se trouve à côté de moi. Et la, deux secondes et je me lance à l'attaque. Ma force, mes réflexes et mon agilités décuplé j'abats trois drones en deux tires. Puis le corps à corps s'engagent et m'aidant d'une scie circulaire de combat, je démembre quatre autres drones avant de me faire toucher moi même. Mais je ne suis plus seul, les autres soldats se sont lancé dans la bataille et la confusion règne. J'en profite pour me mettre à couvert et mettre un lambeau de vêtement sur ma plaie.
    Le combat fais rage, le sang et le fluide des drones coulent à souhait. Le sol se transforme en boue, et un homme glissant s'empale sur sa propre arme. Frappant un adversaire, mon arme se brise. Je sort alors l'arme récupéré dans le tunnel. Un pistolet à plasma. Au risque de blesser mes camarades, je tire et fais un carnage dans les rangs adverse.
Malheureusement ils sont plus nombreux que nous, et infatigable. Alors que nous commençons à perdre du terrain, un bruit venu du ciel, et des énormes morceaux de métal s'écrasent sur les ennemis. De ceux ci sortent des armures de combat, dernier cris de la technologie de combat humaine. Et la c'est le carnage, les drones se font massacrer, et nous commençons à reprendre du terrain.
    Malheureusement, c'est à se moment la que mon pistolet à plasma que je tiens à la main surchauffe et explose entre les doigts, m'arrachant par la même occasion la moitié du bras. Et après ça, plus rien.

Mémoire d'un capitaine lors de l'attaque de la planète VJ-138 * par les forces de la ROBOTECH CORP. © *, le 29 juillet de l'année stellaire 1984. 5 jours avant sa mort due à des lésions multiples et des brulures importantes au poumon.

For Manu's birthday ^^

* inexistant dans l'original.

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